De la pilule contraceptive au dispositif intra-utérin en passant par l’anneau vaginal, il existe une palette contraceptive assez large 1. Néanmoins, pour une majorité de jeunes femmes, la pilule contraceptive demeure la méthode la plus utilisée. En effet, en France, 44,4% des jeunes femmes entre 15 et 19 ans utilisaient la pilule en 2016. Face à ce constat, il semble alors intéressant de questionner le rôle du médecin ou du gynécologue qui guide et oriente le choix des femmes (j’aimerais ici parler des hommes également, cependant, en mettant de côté le préservatif, ils sont encore rares à utiliser une méthode de contraception et encore plus rares à se rendre chez l'andrologue pour obtenir de plus amples informations sur leur choix contraceptif encore très - trop - limité). Peut-on dire que les gynécologues ont une quelconque responsabilité dans la construction d’un schéma contraceptif centré sur la pilule? Comment le corps médical peut-il permettre aux femmes et aux hommes de choisir leur contraceptif de manière éclairée ? 1 Chaque méthode contraceptive comporte ses avantages et ses limites. Si cet article ne traite pas de ce sujet, un prochain article pourra y revenir plus précisément.
Dans le cadre d’une première consultation, une jeune femme souhaitant se voir prescrire une méthode de contraception est souvent peu renseignée. Ce manque d’informations crée alors une espèce de dépendance de la patiente envers son médecin ou son gynécologue logiquement plus informé.e.s des différentes méthodes de contraception. Ici, nous pouvons parler d’un rapport de domination entre le.la médecin détenteur.rice des savoirs en matière de contraception face à la patiente ne pouvant s’appuyer que sur ses savoirs / croyances ou sur son expérience contraceptive selon son âge. Ce rapport de domination existant a notamment été travaillé concernant les rapports médecins-patient.e.s. En effet, les travaux de recherche étudiant les rapports entre les médecins et les malades mettent en avant l’idée d’une dépendance des patient.e.s face aux médecins. En travaillant sur l'évolution de ce rapport, l’article « Figures de la soumission au soin. Le système soignants/soignés modèle de l'identification à l’agresseur » écrit par Anne-Marie Merle-Béral et Anne-Marie Rajon, montre que pendant longtemps, le médecin « avait une compétence et un savoir indiscutables », obligeant le malade à lui accorder sa confiance. Décrivant le malade comme « ignorant » et « démuni » face aux savoirs de son médecin, les autrices définissent la relation médecin/malade comme une rapport de domination entre celui.celle qui détient le savoir et l’autre non. La relation entre la.le gynécologue (ou médecin) et la patiente illustre parfaitement ce rapport de domination qui a été étudié dans le milieu de la recherche en sciences sociales. En effet, la seconde révolution contraceptive s’est accompagnée d’une médicalisation ainsi que d’une féminisation de la contraception, plaçant bien souvent la patiente dans une situation d’ignorance face à son médecin. Cette ignorance favorise ainsi la dépendance des femmes au milieu médical. Cependant, cette dépendance n’est pas forcément problématique. Il est normal que la patiente ne connaisse pas l’ensemble des possibilités contraceptives. Logiquement, la.le médecin joue un rôle de guide, il.elle est censé.e écouter la patiente, comprendre ce qu’elle attend de sa méthode de contraception afin de lui présenter les différentes options qui s’offrent à elle : informer afin de permettre un choix éclairé.
Dans la réalité, les choses sont pourtant bien souvent différentes. Pour nous rendre compte de cette réalité, je vais m’appuyer ici sur des témoignages recueillis entre janvier et juin 2020 pour l’écriture de mon mémoire de Master 2 de recherche en science politique, intitulé « Le Planning familial face au scandale de la pilule : de l’adaptation du discours national aux transformations des pratiques locales - Analyse de la réception des évolutions des demandes contraceptives à l’aune de l’expérience personnelle et associative des militantes du Planning familial ». Dans ce mémoire, j’ai cherché à appréhender l’expérience contraceptive des militantes du Planning familial français de manière à mieux connaître mes enquêtées. L’ensemble de mes entretiens avec les militantes du Planning familial comprenait la question suivante: « Pouvez- vous me raconter votre expérience contraceptive ? ». Dans l’ensemble des témoignages, des récits d’actes sexistes ou de violences durant le suivi gynécologique m’ont été racontée. 2
Enquêtée 1 : « Je me suis retrouvée dans un état pré-diabétique avec la prise de la pilule et la gynéco qui me suivait à l’époque, c’était début années 2000 m’a dit « je ne pose pas de stérilet aux femmes qui n’ont pas eu d’enfant parce que c’est dangereux, ça ne se fait pas ». Et moi je ne savais pas que c’était faux. C’était le tout début de l’implant et pareil « ah non l’implant je n’en prescris pas, c’est pour les débiles ». Dis comme ça... Et « ah non les pilules microdosées je ne vais pas vous en donner, c’est pas assez fiable pour quelqu’un de jeune ». Donc je me suis retrouvée sans contraception du tout, ce qui est vachement plus fiable pour quelqu’un de jeune à 23 ans. » Enquêtée 2 : « Du coup je vais là bas pour me faire retirer l’ancien implant et en poser un nouveau, et là une expérience, mais alors désastreuse ! Elle galère pour me retirer l’implant, parce qu’il y a un petit effet de nécrose, grosso modo elle me fait mal, elle galère, elle m’engueule et elle refuse de me poser le nouvel implant! Elle me fait la moral en me disant qu’en gros à mon âge quoi, il serait temps de penser à autre chose et qu’elle ne posait ça que sur les très jeunes femmes. Voilà... J’ai eu un bleu sur le bras pendant je ne sais pas combien de temps. Fin c’est clairement quelqu’un qui était en panique, elle s’est rendue compte que l’acte médical, elle ne le maitrisait pas vraiment. » Enquêtée 3 : « Et du coup voilà, j’arrive pour arrêter la pilule. Lui il était un peu en mode « y a pas de problème, non elle te va très bien, pourquoi tu veux changer ? » Bah je l’oublie. Là là réponse a été « bah faut pas l’oublier ! » Je lui dis que je voudrais un moyen de contraception non hormonale... Et là il m’a sorti... Fin je ne sais pas par quelle pirouette mais je suis ressortie avec la prescription pour un anneau contraceptif. Donc ton avis pris en compte... On reviendra... Et en plus je m’étais faite engueulée parce que je ne connaissais pas l’anneau ! Et là il m’a sorti un argument magnifique... « Bah quoi ? Tu ne lis pas les magazines type Vogue ou Femina ? » Bah non ! (...) Finalement, je repars le voir bien après pour la pose d’un stérilet, il accepte à contre coeur (...) Il y a bien eu la vérification qu’il pouvait passer le col, mais à aucun moment j’ai eu de tests IST bactérien, sauf que du coup c’est super dangereux parce que si par exemple j’ai eu un chlamydiae, il serait remonté et là ça aurait été une catastrophe. »Ces récits d’expérience mettent en lumière l’importance capitale du ou de la gynécologue. En effet, deux de ces entretiens montrent comment le manque d’informations des patientes, favorisé par leurs gynécologues, mettent leur santé en danger. L’une se retrouve sans moyen de contraception à 23 ans et l’autre se voit obligée d’insister lourdement afin de se voir poser un stérilet, finalement posé à contrecoeur, sans examen préalable. Face à un corps médical sourd aux demandes des patientes, la conséquence est souvent celle d’une contraception imposée et non choisie. En France, tout comme en Espagne, en Algérie ou au Brésil, la pilule est la méthode de contraception la plus prescrite en 2010. Pourtant, elle est également l’une des méthodes les plus contraignantes. Elle doit être prise quotidiennement, à heure fixe pour la pilule de troisième génération notamment. Comme l’explique Cyril Desjeux dans un article intitulé « La pilule hormonale féminine : De la fécondité « féminine » à la fécondité « conjugale » », la pilule contraceptive exige « un contrôle de soi » qui n’est pas négligeable. Ainsi, parce qu’elle est souvent imposée aux plus jeunes patientes et qu’elle exige une organisation importante, la pilule est souvent oubliée, favorisant ainsi la prise de risque pour de nombreuses femmes. 2 Citations tirés de mon mémoire de recherche : NOËL Julie, Le Planning familial face au scandale de la pilule : de l’adaptation du discours national aux transformations des pratiques locales, mémoire de Master, Université de Lille, 2020
Dans cette partie, je vais mettre en avant une liste non exhaustive des solutions qui me semblent les plus importantes par rapport à ce que j’ai pu lire ainsi que grâce aux différents entretiens qui ont ponctué mon mémoire de recherche. Bien évidemment, selon les expériences de chacun.e, d’autres solutions existent.
• Le choix d’une contraception adaptée, favorisé par des médecins informé.e.s et à l’écoute Comme je tente de le montrer dans cet article, le rôle du médecin / gynécologue est important dans le choix des patientes. Quand elles sont jeunes, les médecins sont celles et ceux qui viennent pallier le manque d’informations en termes de contraception et de sexualité, plus tard, iels sont censé.e.s conseiller par rapport à l’expérience contraceptive des patientes. Cependant, aujourd’hui, selon les pays, le rôle des gynécologues n’est pas toujours respecté. C’est ce que montre Cécile Ventola dans un article intitulé « Le genre de la contraception : représentations et pratiques des prescripteurs en France et en Angleterre ». En effet, en comparant la France et la Grande Bretagne, l’autrice montre que la prescription contraceptive diffère selon les deux pays. En France, les prescripteur.euse.s sont assez peu contrôlé.e.s concernant les informations données à leurs patientes. A l’inverse, en Angleterre, la prescription contraceptive et l’information sur l’ensemble des méthodes existantes sont des obligations. Dans ce cadre, les prescripteurs sont contrôlé.e.s informatiquement par le biais d’un dispositif nommé « Quality and Outcomes Framework ». Tous les 5 ans, les prescripteurs ont l’obligation de se former afin de se mettre à niveau concernant les évolutions contraceptives et doivent pouvoir en attester auprès de leurs employeur.euse.s. Ces dispositifs institutionnels montrent de vraies différences de prescription. En Grande-Bretagne par exemple, la vasectomie est beaucoup plus répandue qu’en France où cette méthode de contraception est sous-utilisée, souvent méconnue ou décrite négativement. Ainsi, pour tendre vers une information complète, l’information, la mise à niveau et l’obligation pour l’ensemble des prescripteurs d’informer leurs patient.e.s permettraient de tendre un choix contraceptif éclairé. Cependant aujourd’hui, dans de nombreux pays, les gynécologues ont souvent peu de temps à dédier à l’information. En France, la prescription contraceptive a été élargie aux sages-femmes, disposant parfois de plus de temps et souvent plus ouvert.e.s à certaines méthodes contraceptives. • L’importance des campagnes d’information Les campagnes d’information sont des ressources essentielles pour les femmes, elles leur permettent de pouvoir s’informer seules et de déterminer quelle méthode semble être la plus adaptée à leur mode de vie. L’information est essentielle et doit être disponible dès l’adolescence. Pour cela, l’obligation d’une éducation sexuelle régulière et complète à l’école doit être prise au sérieux, notamment en débloquant les fonds financiers nécessaires. • Ecouter les souhaits des personnes concernées sans stigmatiser certaines méthodes de contraception Il n’y a pas de bonnes ou de mauvaises méthodes de contraception. Une bonne méthode de contraception est celle qui s’adapte le plus aux besoins, à l’expérience et aux valeurs de chaque femme ou homme. De cette manière, s’il existe effectivement des méthodes avec un plus ou moins fort taux d’efficacité, la meilleure contraception sera celle dans laquelle on croit. Chaque méthode comporte ses avantages et ses inconvénients, le tout est de les connaître et de les prendre en compte avant de faire son choix. Le prescripteur peut ici conseiller, mais ne jamais imposer.Je m'appelle Julie Noël, j'ai 24 ans et je suis fraichement diplômée d'un double master en science politique effectué à l'Université de Lille. Mon expérience contraceptive m'a amenée à m'intéresser de manière plus approfondie à la place de la contraception dans le milieu de la recherche en sciences sociales. De cette manière, j'ai découvert un ensemble de textes et de témoignages très riches qui m'ont convaincue de la nécessité d'étudier la contraception en science politique. Pour cela, j'ai réalisé un mémoire concernant le scandale de la pilule de 2012-2013 en France et son appréhension au sein de l'association du Planning familial français, structure référente en matière de contraception. Aujourd'hui, mon souhait est de tendre vers une démocratisation des recherches effectuées en sciences sociales dans le domaine de la contraception, de manière à pouvoir évoluer sur les différents enjeux s'agissant de ce domaine.
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